Coprésidente du Conseil Consultatif mondial pour la jeunesse au sein du Haut commissariat pour les Réfugiés (HCR)
Photographe Humaniste. National Geographic
Philosophe, Professeur émérite à l’université de Columbia
Experte humanitaire, Directrice internationale de la Fondation Guetanyo,
Ancienne ministre de la Femme, Vice-Présidente du Bureau international des droits de l’Enfance
Conseillère spéciale du Sécrétaire Général des Nations Unies
Présidente
Université Américaine de Paris
Avocate, Député Maire de Podor, Ancienne ministre de la commnunication du Sénégal
Présidente de la Commission des Lois de l’Assemblée nationale française
Présidente de la Fondation Chanel, Présidente d’ONUFEMMES
Chercheur Senior Climat - Coordinateur Deep Decarbonization Pathways Project (DDPP)
Directrice de l'Institute for European Environmental Policy (IEEP)
Membre de l’académie française d’Architecture, Cofondateur de l’Institut Européen de la Maitrise d’Œuvre
Ancienne ministre du Logement et de l’Égalité des territoires, Directrice Générale d’Oxfam France
Présidente de la
Fondation pour la Nature et l'Homme
Président du Forum de Saint-Louis
Vice-président marketing Afrique de Total
Président du Conseil d'administration de HEC Paris, ancien Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Ile-de- France (France)
Président de l’Université Sorbonne Panthéon
Fondatrice de Green Evènements
Président de la commission des Affaires Culturelles et de l’Éducation de l’Assemblée nationale
Administrateur-Directeur Général, EBI SA, filiale du Groupe Ecobank
Directeur Général
Ionis Education Group
Professeure Chercheure À Université De Varsovie
Cofondateur de la fondation Article 1
Un des critères pour la sélection du comité scientifique dont la première tâche, sera de faire rayonner la conférence mondiale sur l’éducation partout dans le monde, a été l’origine géographique de ses membres.
On trouve, ainsi, aux côtés de Fatou Bintou Djibo Représentante résidente du Pnud et coordonnatrice du Système des Nations Unies au Niger, Noeleen Heyzer, conseillère spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies, ancienne vice-Secrétaire générale des Nations Unies, Joséphine Odera, ancienne Directrice régionale d’ONU Femmes pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, Souleymane Bachir Diagne, Philosophe, Professeur émérite à l’université de Columbia, Urvashi Sani, une activiste pour l’éducation des jeunes filles qui a fondé à Lucknow (Nord de l’Inde) la fondation Study Hall, Maria Teresa Fernandez de la Vega Sanz, l’ancienne porte-parole du gouvernement de Zapatero, Présidente de la fondation Mujeres pour Africa, Joanna Madalinska-Michalak de l’Université de Varsovie, Présidente du Conseil de Recherche pour l'éducation de la politique, la Canadienne Claudine Provencher, Directrice du LSE LIFE à la London School of Economics et Stephen Cheung Yan-leung, Président du Hong Kong Institute of Education.
Le but du Forum Mondial sur l'Avenir de l'Education est de mobiliser la société civile afin de provoquer un véritable débat universel autour de solutions nouvelles à apporter pour rendre le système d’enseignement plus inclusif et mieux adapté aux réalités socio-économiques, et ainsi mieux préparer la jeunesse à relever les défis de son temps-, elle doit aussi permettre de distinguer des organisations et des individus qui œuvrent déjà en ce sens et peuvent servir d’exemple.
Dans la phase préparatoire, Amy Sarr Fall a donc utilisé toutes ses entrées pour rencontrer les leaders mondiaux et les convaincre de cette nécessité. On l’a vu aux cotés de l’ancien secrétaire des Nations Unies Ban Ki Moon pendant les Assemblées générales de Nations Unies, de Michael Bloomberg, l’envoyé des Natrions Unies pour le changement climatique et les villes, de Mélissa Freming, porte-parole du HCR, du Président de la Banque mondiale Jim Yong Kim ainsi que de son Vice-président Makhtar Diop, de la Directrice générale du FMI, Christine Lagarde et de celle de l’Unesco, Irina Bokova juste avant l’arrivée de Audrey Azouley avec laquelle elle est déjà en contact afin d’établir un partenariat durable entre la GE7 et cette organisation dédiée à l’avancée des sciences et de l’éducation dans le monde.
Pour l’aider dans cette tâche, elle peut aussi désormais compter sur l’appui d’éminentes personnalités comme Bruno Studer, Président de la Commission des Affaires Culturelles et de l'Education à l’Assemblée nationale, Jean Paul Vermès, Président du Conseil d’administration de HEC Paris, Dominique Reynié, Professeur des universités à Sciences Po et Directeur général de la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol) ou Marc Drillech, Président de Ionis Education Group. « C’est difficile de dire non à Amy », a commenté l’ancienne journaliste de télévision, Audrey Pulvar, aujourd’hui Présidente de la Fondation pour la Nature et l’Homme (FNH) qui a accepté « sans hésiter » d’entrer dans ce Comité. A l’instar de Thibault Flichy, Vice-Président marketing Afrique du géant pétrolier Total et d’Ibrahima Diouf, Administrateur-Directeur Général, EBI SA, une filiale du Groupe Ecobank qui est présente en Chine, en France et en Grande Bretagne.
Le Sénégal à l’honneur
En présence de l’Ambassadeur du Sénégal en France, M. Bassirou Sène, venu présider, au nom du ministre de l’Education nationale, Serigne Mbaye Thiam, et de nombreux représentants de chancelleries diplomatiques basées en France (l’Erythrée, l’Algérie, le Ghana, la Grèce, le Bénin, le Monténégro, le Portugal, Israël, le Danemark, la Slovénie, la Pologne, la Géorgie, le Mozambique, Le Libéria, l’Arabie, Singapour, le Qatar, le Togo, les Etats-Unis), le Professeur Souleymane Bachir Diagne, Président du comité scientifique de ce forum, a souligné que l’éducation était le principal déterminant du futur de l’humanité.
« L’éducation est la condition de l’avenir que nous souhaitons, a observé le Philosophe, qui officie comme Professeur à l’université Columbia, aux Etats-Unis. L’avenir que nous ferons, le monde de demain que nous inventerons sera l’éducation que nous nous donnerons. De cette réalisation première, nous sommes invités à explorer les implications pour formuler des recommandations que nous transmettrons aux autorités, mais d’abord à nous-mêmes. Notre conviction est, en effet, que l’avenir de l’éducation, ou l’éducation de l’avenir ou encore l’éducation pour l’avenir ne sera pas l’éducation d’experts ou de décideurs, mais elle est l’affaire de tous.
Ce forum n’est que le point de départ d’un processus mis en branle qui va nous mener autant que nous le mènerons, qui saura se réorienter dans le futur, se renouveler dans les années. »
Conçu dans l’optique de mobiliser la société civile afin de provoquer un véritable débat universel autour de solutions nouvelles à apporter pour rendre le système d’enseignement plus inclusif et mieux adapté aux réalités socio-économiques, et ainsi mieux préparer la jeunesse à relever les défis de son temps, le forum se déroule dans un contexte mondial particulier marqué par la crise migratoire, celle de l’emploi ; les nouveaux défis liés au réchauffement climatique et les problèmes de disparité entre genres qui existe encore partout dans le monde.
Cinq thématiques cruciales étaient au cœur des débats animés par d’illustres personnalités : l’éducation des filles, un droit vital pour la promotion du leadership féminin ; l’avenir des enfants réfugiés et migrants face à la crise de l’éducation ; dividende démographique et opportunités de la révolution numérique ; l’innovation scientifique et entrepreneuriale ; transition écologique : défis et compétences.